L’élection présidentielle cette année serait la première que j’ai la capacité (cela veut dire, on peut voter seulement tous les quatre années) et sans le dire, je ne suis pas aussi enthousiaste comme j’ai pensé avant le dévoilement des candidats. J’ai la perception d’une jeune étudiante progressiste et les choix entre un républicain qui est extrêmement conservateur Donald Trump, et une démocrate qui est un peu de droite, Hillary Clinton, je ne veux pas faire un choix. Mais je suis obligé de faire un choix comme d’autres Américains et tout avec l’intention de garantir le candidat ne ferait pas de dégâts irréversibles.

Pendant le dernier an et demi avant les élections en novembre, ce n’avait pas été un échange digne des opinions politiques opposés, mais une lutte de voir lesquels des candidats feraient miner le plus. De plus, ce spectacle est dramatisé par les médias. À mon avis, cette élection serait l’évènement qui encouragerait un changement avec les programmes des républicains et démocrates et une ascension des autres partis.

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Après avoir vécu à Montpellier depuis un mois, j’ai remarqué quelques différences. Le premier, c’est le désintérêt parmi mes pairs à l’université à laquelle j’assiste. C’est évidemment à cause du fait que l’élection est l’élection des États-Unis et pas de la France. Je pense qu’il est aussi essentiellement à cause de manque de la crédibilité des candidats. Il y aurait moins d’intérêt, s’il y a une idée que les candidats ne sont pas sérieux. J’ai noté aussi que les médias en France sont moins dramatisés. C’est un grand soulagement de voir moins d’intentions cachées. Même si les élections semblent encore une peu ridicule, il y a un point de vue plus clair et objectif que les médias fournissent avec les choses les candidats appuient en fait.

Cette élection avait éclairé l’état des rapports raciaux aux États-Unis. Le fait que le terrorisme, la politique étrangère, et l’immigration sont les problèmes les plus importantes pour les électeurs, il montre clairement qu’il y a un air de la xénophobie et l’islamophobie. Plusieurs personnes oublient ou refusent d’admettre qu’Islam n’est pas la cause du terrorisme, la plupart des immigres et particulièrement ceux du Mexique et les pays sud-américain ils viennent d’améliorer leurs vies avec accès des meilleures ressources.

Je crois fortement que les évènements qui précèdent l’élection et aussi les résultats provoqueront un grand changement avec les affaires politiques des États-Unis. Je ne suis pas seule quand je dis que je sens que je n’ai pas un choix réel concernant le candidat qui guidera le pays dans la direction convenable. Je pense que la publique est finalement fatiguée de voter entre « mauvaise » et « pire ».

By Chantal JORDAN

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